Critique du livre Il faut imaginer l'alpiniste heureux

Vous êtes un peu las des « grands » alpinistes (ou dits comme tels) qui racontent leurs « grands » exploits ?

En voici un « petit », heureux de l’être !

Oui, il se raconte et forcément, il y a un peu de nombril là-dedans.

Mais c’est assez rafraichissant de lire un « vulgaris alpinistis » qu’on rencontrerait au boulot (ou au rond-point des Ecrins).

On y perçoit l’ambition et le doute, la réussite et les déconvenues, l’envie de partage et le besoin de solitude…

On a tous vécu cela, en toute humilité.

C’est finalement assez cool de l’écrire, en toute humilité.

On ne sait pas s’il faut imaginer l’alpiniste heureux. Mais il peut l’être, assurément…

(Et il y a une vie au soleil de l’aventure, même pas obscurcie par l’ombre de Mike Horn ;-)