Critique du livre Lettres d'Ogura
Au paroxysme d’une triste époque de l’Humanité où l’on s’auto-caresse à grand clic de selfie et autre nombrili-post, peut-on encore croire que l’amour demeure philosophiquement pluriel* ?
Un peu comme disait Renaud : « J’aime la vie et les coquillettes… »
Chronique commise par jyhes le 26-10-2018
Auteur : Hubert DELAHAYE Editeur : L'Asiathèque Catégorie : Au delà des sentiers battus ISBN : 9782360570829 Edition 2017 - 128 pages - 9,90 € € |
Aussi, est-ce qu’un Gaulois qui coûte (que coûte) un « pognon de dingue » pourrait aimer une Geisha qui coûte une âme en poudre de riz ?…
Il y a du Chomolungma dans l’Ogura, nonobstant la confidentialité du hameau éponyme.
Et il y a une forme d’amour mi-passionné, mi-platonique dans ces belles lettres.
Qui déclenchent l’envie de découvrir, de partager, de confronter, se s’acculturer, de s’intimer…
C’est tout le mal que l’on pense (en bien) des mots en général, et de ceux-ci en particulier.
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