Critique du livre L' épopée des stations de ski
A une époque où l’on dépale les éoliennes*, où l’on grille les abattoirs*, où l’on effarouche les ours*, il est heureux que l’on ne cisaille pas (encore) les câbles des tire-fesses.
Par contre, vigilance tout de même : tirer un oeil sur des fesses non consentantes est clairement un acte anti-bon-karma…
Chronique commise par jyhes le 11-10-2018
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Auteur : Guillaume DESMURS Editeur : Glénat Catégorie : La Montagne sous un autre angle... ISBN : 9782344029770 Edition 2018 - 240 pages - 29 € € | |
Dans une précédente chronique nous suggérions que « Pierre NOVAT est à la réconciliation des adrets et des ubacs ce que Mandela le fut aux couleurs de peaux ».
Oui, si ce gaillard dresse autant de plans singuliers sur la comète, disons sur les stations en altitude, c’est bien qu’elles sont plurielles, durables et / ou recyclables, vivantes et évolutives.
Cet ouvrage un flocon partisan – juge et partie, auteur et sujet s’obligent – n’en demeure pas moins l’expression d’un bel hommage à ces lieux de démocratisation et désacralisation de la montagne en hivernale.
C’est historique et projectif. Et permet donc de mieux appréhender où l’on met les spatules.
Ces stations sont à l’image de notre monde.
Le monde a été, est et sera à l’image de ce que nous voulons qu’il soit.
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* On vit une époque formidable !
https://attaque.noblogs.org/post/2018/08/03/izenave-ain-encore-une-eolienne-qui-flambe/
