Carnets d'Aventures n°67, sortir des sentiers battus

Majorité : nf.

Mon fils (et Carnet d’Av’), c’est l’âge légal pour :

- faire tout ce que tu veux, mais de toute façon, c’est ce que tu faisais avant.

- prétendre accéder à un début de sagesse, ou bien de s’en branler.

- avoir le droit de cliquer sur « j’ai plus de 18 ans, je peux accéder au contenu de ce site », mais si tu ne l’as jamais fait auparavant, un truc m’échappe.

- d’être dans le pétrin et s’en démerder seul, voire de compter sur des parents (lecteurs !) qui t’aiment !

Bref, ça craint cet à venir, alors tu devrais adorer !

On aurait pu commencer la chronique en paraphrasant Dalida.

Décomplexion et intelligence du verbe décalé obligent.

Car c’est aussi ce qui préside à la ligne rédactionnelle de la revue-qu’on-attend à chaque équinoxe ou solstice...

Où l’on prend la mesure que si l’on est abattu, battre le pas hors des sentiers battus, alors c’est bonne magie !

Mais WTF, pourquoi causent-ils du Verdon ? Lecteur, regardez mes yeux, ce lieu béni est un mirage i̶l̶ ̶n̶’̶e̶x̶i̶s̶t̶e̶ ̶p̶a̶s̶  laissez-le pour nous.  Ayeeeeez, cooooofiaaaaaaance…

Et l’Ours de répondre : « vagabondo, ergo sum ».

M'enfin, on a tous un droit d’être là où l’on souhaite être, non ?

Et de humer ce qui nous parle.

[Collectif - Carnets d'Aventures, 2022 - 114 pages - Dans tous les kiosques, pour la modique somme de 6.90 € - Et s'il ne l'est pas (WTF, changez de crémerie !) : code pour commander = L11948]

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