L’Alpe 91 Neige et glace, le goût de l’hiver

À Marseille, on n’aime ni les parisiens, ni la neige, peuchère.

Et RAOULT, à défaut d’inventer l’eau fraîche pour le pastaga, n’avait pas anticipé la "glace sèche" !

Cryo’ice et autre Biogivre, cela ne s’invente pas, proposent de choyer par cette glace sèche – disons de convoyer jusque dans les veines des ± 50% de crédules d’optimistes – le vaccin qui ne semble chauffer les anticorps que dans le froid !

Ce frisquet, mais très chatoyant Alpe réchauffera les monchus qui ne savent pas que là où c’est glacial, la vie n’en est que plus fondamentale !

Fondamental, car dans la glace (et par le sommaire, en désordre) nos origines y sont marquées. Nos combats s’y pétrifient. Nos loisirs s’intensifient. Nos espérances se magnifient, voire nos désillusions se subliment…

Bref, le plus que ça caille, le mieux que l’Humanité exulte !

Et puis le froid, ça raffermit le postérieur, hein ;-)

Cette publication a demeuré, demeure et demeurera toujours juste et parfaite.

NB1 : ‘Sont un peu mou du galbe ces pôvres marseillais, sans les parpailloles de neige, non ?

NB2 : Une mention particulière pour la pub d’Alpe-Isère en page 82. Les pauvres, ils ne savaient pas l'avenir réservé aux stations pour Noël…

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