Carnets d'Aventures n°61 - L'appel des grands espaces

Dans le Littré, la seconde acception de « couvre-feu » est potentiellement d’actualité* : « Coup de cloche qui marquait l'heure de se retirer chez soi et d'éteindre feu et lumière. »

La première est davantage contre-intuitive : « Ustensile dont on se sert pour couvrir le feu et le conserver. »

Le couvre-feu permet-il, ici et maintenant, de conserver le feu de l’itinérance qui couve en chaque lecteur de Carnet d’Av’ ?

C’est certainement un peu le contre-pied de ce numéro.

Oser les grands espaces d'Asie ("One steppe beyond, rien que cela 😉 lorsque la nation France va poursuivre l'appel* à demeurer étriqué.

Le virus n’a pas de frontière, ça tombe bien, le vagabondeur non plus !

Et comme souvent le second est agoraphobe, laissons le premier vivre sa vie en société.

Le menu de ce 61ème CA est épais et gouleyant : aller loin pour éprouver grandement.

Avec, heureusement, quelques nuances vertueuses pour notre bilan carbone. Car l’on peut cheminer court et profiter de chaque espace libre pour en faire notre terrasse d’un soir...

Bref, sus aux annonces liberticides* !

A chacun d’être responsable de ce que l’on est et vers où l’on va.

En faisant gaffe au(x) coup(s) de foudre (article net et sans bavure à ce propos 😉

* On reparle de tout cela ce soir (pige rédigée Me 14/10/2020)

[Collectif - Carnets d'Aventures, 2020 - 114 pages - Dans tous les kiosques, pour la modique somme de 6.90 € - Et s'il ne l'est pas (WTF, changez de crémeire !) : code pour commander = L11948]

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