Critique du livre L'Alpe 60 - Des scientifiques dans la montagne

En une seule phrase : Des chientifiques pas chiants...

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Pour avoir courbé un temps l'échine à porter le lourd tablier du Hussard noir de la République, et torturer ainsi aveuglément des générations d'élèves dictéephobes, j'ai pu prendre toute la mesure de la différence entre le pédagogue et le pédophile. Des deux, il y en a au moins un qui aime les enfants…

Pour le scientifique environnementaliste et celui des labos borgnes des facultés, c'est un peu pareil. Il y en a au moins un des deux qui prend l'air du dehors…

Et ça peut le rendre audible pour le commun des mortels.

Chronique commise par jyhes le 07-04-2013

Couverture du livre4eme de couverture du livre

Auteur : Collectif

Editeur : Glénat

Catégorie : Théorie, pratique > Connaissance du milieu naturel

ISBN : 19767

Edition 2013 - 100 pages - 15,00 € €

D'après l'édito, on pourrait être naturaliste sans être baillant... Voir.

Reconnaissons effectivement que ces Léonard, Dolomieu et autres moins illustres ont commis moult graphiques, cartes et peintures rendant (presque) accessible la complexité du réel alpin à l'inculte randonneur.

C'est encore et toujours le cas pour ces hordes d'illuminés contemporains convaincus de leur mission de vulgarisateur de l'affaire géologique, géographique, botanique, éthique et toc…

L'Alpe de printemps nous propose donc une parade nuptiale avec ces chercheurs des hauts, qui savent insuffler le beau et le bon de la terre pour nous rendre moins bête que la veille. A l'image de cette de reprise de "L'art et la matière", déjà chroniqué par ici

Yabon.

 

 

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