Critique du livre Une saison en refuge

Un hurluberlu me murmura un jour que le dernier refuge contre le téléphone portable serait la cabine téléphonique. Mouais, c'est partiellement vrai. Si la cabine est un refuge, elle est aussi une prison, non ? Et si le silence alors demeurait l'ultime refuge de la Liberté !

Et je fais des accroches avec de la philosophie de bistrot (disons de refuge ;-) si je veux !

Chronique commise par jyhes le 25-11-2012

Couverture du livre4eme de couverture du livre

Auteur : Laurence Fleury

Editeur : Gypaete

Catégorie : La Montagne sous un autre angle...

ISBN : 9782915911381

Edition 2012 - 166 pages - 9,90 € €

La scène se passe quelque part dans les pyrénéens. Même si les visages sont volontairement floutés, tout ce qui est dit est visiblement vrai, et pourra même être retenu contre la gardienne !

Les connaisseurs sont censés retrouver aisément le coin. Ce ne fut pas mon cas. Et je ne me suis pas non plus forcément retrouvé dans la narration, certes plutôt bien léchée, mais particulière peu flatteuse pour nos vénérables havres de paix et de réconfort d'après l'effort.

Oui, incontestablement, il ne fait pas bon s'essayer aide gardienne lorsque la mère maquerelle est aussi souriante qu'un bloc de granit sous la pluie. Heureusement, ce refuge-ci est l'exception qui rend tous les autres chaleureux, non ? Sauf, au refuge de Biiiip, et puis encore celui de Biiip…

Bâh, dans tous les cas, nous sommes aussi et surtout des clients. Alors, mieux que la 4ème, lisez cet amuse-bouche et finissez de lire cette rugueuse prose.

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