Critique du livre Sainte Rita ou les Causes alpines désespérées (chroniques de l'alpinisme ordinaire)

Livres Hallucination 8 nov. 2017

La cause n’est perdue que parce que l’on ne sait plus pourquoi…

Et en conséquence, comme disait HUGO*, « on ne cause bien avec une femme qu’après ».

Parce qu’avant, aucune bonne (ou mauvaise) cause n’est désespérée !

Oké, ça va, je sors ;-)

Chronique commise par jyhes le 08-11-2017

Couverture du livre4eme de couverture du livre

Auteur : Rozenn MARTINOIA

Editeur : JME Editions

Catégorie : Hallucination

ISBN : 9782918824183

Edition 2014 - 152 pages - 11,90 €

[A la (presque) manière de Télérama] Il y a dans ces nouvelles des effluves de D. POTARD l’improbable et de A. SAUVY l’érudite.

Le lecteur oscille en 4+ à vue, perdu entre lard et cochon, sans savoir ce qui est la cause ou bien la conséquence…

Sainte Rita, priez pour nous pendant que nous rions de vos causes désespérées, tant qu’il est encore temps.

« Toxicité de la substance

Et addiction de l’usager

Vont souvent de pair »

CQFD.

Dans tous les cas, c’est parfaitement délicieux.

Allez hop, dans la hotte !

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* Source (soumise à caution) : http://evene.lefigaro.fr/citation/cause-bien-femme-12085.php

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