Critique du livre La ligne d'horizon
Je me souviens, tout moufflet, avoir rédigé une « composition » (pour les moins de 20 ans comprendre : « un tweet », méan + lont) sur « les couleurs primaires sont-elles naturelles ? » (sic !).
Voulant paraitre au clair avec l’affaire (comprendre : faire comme Kévin sur sa chaine Youtube d’art martial2martien (re sic) « Je m’inspire des trois religions de la Chine qui sont le taoïsme, le kungfusiannisme et le bouddhisme. »), j’avais mis en résonnance :
« la terre est bleue comme une orange » d’ELUARD avec « la ligne bleue de Vosges »* est comme la verdure de ses épicéas…
Mouais, j’avais eu zéro (comprendre : le prof avait pas liké ;-).
Chronique commise par jyhes le 13-01-2017
Auteur : François Labande Editeur : Editions du Fournel Catégorie : Littérature, romans ISBN : 9782361421038 Edition 2016 - 260 pages - 19 € € |
La ligne (d’horizon) que le gaillard LABANDE trace ici est assez conforme à celle qu’il suit habituellement.
Une forme de regard analytique et / ou synthétique sur l’humanité et l’humanisme en général, matinée de clins d’œil de vies taquin en particulier.
Cela donne un roman singulier, qui, à défaut de perdurer sur la ligne d’horizon de la littérature, questionnera et divertira – ce qui ne gâche rien – le lecteur qui sait bien que le seul horizon qui vaut, c’est celui que l’on n’atteint jamais, toutes couleurs confondues…
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