Critique du livre Mont-Blanc, les (100) plus belles courses

Livres Beaux livres 8 déc. 2012

le nombre 100, dans notre société occidentalo-décimale, demeure un pilier numérique incontournable.

A 100 ans, on accède à la sagesse, ou à la soupe de racine de pissenlits.

A 100 degrés, l'eau bout (et au bout d'1 blague corrigée au typex à l'écran, c'est l'hémisphère droit des blondes qui entre en ébullition).

La ligne 100, des Transports en Commun Lyonnais, dessert épisodiquement "Eurexpo", notamment à l'occasion du salon Pollutec. Ne rigolez pas, je vous jure que c'est vrai !

Et puis il y a eu "les 100 plus bêtes". Un titre rigoureusement 100 intérêt, donc fondamentalement indisp100sable (chez Libris, avant de tomber sous le giron du Monsieur de chez Glénat, ceci expliquant peut-être cela ?)

Chronique commise par jyhes le 08-12-2012

Couverture du livre4eme de couverture du livre

Auteur : Philippe Batoux

Editeur : Glénat

Catégorie : Beaux livres

ISBN : 9782723483865

Edition 2012 - 216 pages - 39,50 € €

Oui, l'auteur ne cache pas sa filiation spirituelle. On est ici dans la descendance philosophique du Grand Gaston. Une sélection des 100 plus belles (en fait 100-et-une, pour mieux ouvrir grand les esprits) du Mont-Blanc.

Evidemment, ça 100 moins la corde de chanvre et le coin de bois, mais la logique demeure identique. Offrir dans un beau livre la quinté100ce d'un massif. La substantifique moelle à l'instant T, en adéquation avec la technique alpine du moment et les conditions in situ. Le tout servi par des visuels à se baver sur les grosses et des topos irréprochables, dans tous les registres de difficultés et de pratiques.

Dans 100 ans, notre des100dance, en tongues en bas du Montevers rigolera bien lorsqu'elle lira que notre école d'escalade se commettait à la mer de glace !

L'ouvrage de référence, 100 équivoque.

Oké, ça va, je sors.

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A propos des "100 plus belles" du Grand Gaston

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