Critique du livre Paris, camp de base
Regarde c’te Monchu, l’a mouillé la meule… Une vraie gouappe ! Hé l’parigot, on sait bien c’qu’tu penses : « cham’, c’est le trou du cul du monde » grand gnaniou va. Allez, l’décapadiot, , fais pas tant d’gôgne et viens faire la gouappe avec nous…
Le monsieur de l’Edition Rouge l’avait pourtant bien dit : « Un hommage qu’il fallait rendre aux Parisiens que la montagne a grandis. À moins que ce ne soit le contraire. ». Ah, bin oui, forcément, dans ce contexte…
Chronique commise par jyhes le 17-02-2011
Auteur : Sophie Cuenot & Robert Paragot Editeur : Guérin Catégorie : Beaux livres ISBN : 2147483647 Edition 2010 - 264 pages - 55 € € |
Les trous moins que le Toit du Cul du Chien(*), c’est bien connu, mènent souvent aux fonds (de vallées) tous ceux qui s’y usent la gomme des chaussons. En voici une brillante illustration, par les mots justes et les images parlantes. Un coté rats des villes, rats des champs, disons plutôt pigeon de clocher et choucas d’altitude. . Classique, mais gouleyant… Un récit simple et sincère pour une passion de la chose verticale qui l’est tout autant. Du vrai bon Guérin, dans le plus pur style. Miam !
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*Le Toit du Cul du chien est Le Bloc emblématique de Fontainebleau…