Critique du livre Le guide du soûlard
Dans le cadre du vaste programme de la pochetronerie sociale (dé)organisée, je voudrais la bistrophilie… Je vous parle d’un godet que les moins de 20 souleries ne peuvent pas connaitre… C’était dans l’(bon vieux) temps, où le zinc était en zinc, où le chips ne croustillait pas toujours, où en tournant la chevillette la cacahouète cherrait. A ce propos, ça me rappelle l’analyse (scientifique forcément) de la petite coupelle d’arachides, dans un pub écossais. Juste environ 27 traces d’urines différentes sur la porcelaine. Miam !
Chronique commise par jyhes le 14-11-2010
 |  |
Auteur : Thierry Meury Editeur : Slatkine Catégorie : Hallucination ISBN : 2147483647 Edition 2009 - 160 pages - 17 € | |
Thierry Meury n’est pas à proprement parlé un sex-symbol de ce coté-ci des Alpes. Toutefois, il jouit d’une renommée quasi interplanétaire, à l’échelle de la plutonique suisse s’entend de cet autre coté. Bref, ça rigole, et surtout ça envoie du gros en lever de coude. Ce gaillard semble avoir éclusé et/ou apprécié un paquet de troquets helvètes. Aux antipodes d’un récit de beuverie, d’une hymne à la picole, d’une éructation incontrôlée, il avance d’improbables pensées, oscillant entre mots (maux ?) de potaches et poésie… C’est croustillant et salé comme un Tuc. Qui prend la prochaine tournée ?
