Critique du livre A la verticale de soi

Le sens de la vie est à la quête intérieure, ce que le « directeur de l’hôtel » est à Marcel PHILIPPOT.

« Je l’aurai un jour, je l’aurai… »*

Chronique commise par jyhes le 02-09-2018

Couverture du livre4eme de couverture du livre

Auteur : Stéphanie Bodet

Editeur : Guérin

Catégorie : Introspecto, ergo sum...

ISBN : 9782352211822

Edition 2017 - 300 pages - 25 € €

Dans le monde où la testostérone et l’estrogène façonnent les pratiquant(es) de la verticale radicale, on lit normalement des récits égocentrés sur « ma vie, mon œuvre, mes joies mes peines, no pain no gain » et toutes ces sortes de choses, parfois baillantes, souvent redondantes.

Voici globalement tout le contraire, malgré un pédigrée et un palmarès qui prédestinait cette gaillarde à cet exercice littéraire.

On se délectera, une voie(x) n’est pas coutume, à une introspection où étonnamment, le moi cède la place aux autres, aux éléments, à l’ici et au maintenant…

On s’y perd un peu, et l’on s’y retrouve beaucoup.

Il y a une vie derrière (disons devant) sa recherche de sens…

Miam !

 

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"Je l'aurai un jour, je l'aurai..."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Palace_(s%C3%A9rie_t%C3%A9l%C3%A9vis%C3%A9e)#Les_s%C3%A9quences_r%C3%A9currentes

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