Critique du livre Dico Impertinent De La Montagne

Livres Hallucination 3 mars 2018

Le bon sens populaire, voire spirituel, est intarissable pour définir, et donc s’approprier, LA montagne.

Au pays de la cigogne, “Plus la montagne est haute, plus la vallée est profonde”.

A celui du soleil qui se lève, “Qui veut gravir une montagne commence par le bas”.

Où c’est Nippon, ni mauvais, “Les poussières qui s’amassent forment une montagne”.

Pour un certain prophète, “Puisque la montagne ne vient pas à nous, allons à la montagne”.

Et quand on n’en a pas, “Une plaine est une montagne plate”.

Et si on en a, “Le jour où l’on a distribué les testicules, y’en a qui se sont trompés de sente”.

Oups.

Chronique commise par jyhes le 03-03-2018

Couverture du livre4eme de couverture du livre

Auteur : Cédric SAPIN-DEFOUR

Editeur : JME Editions

Catégorie : Hallucination

ISBN : 9782918824176

Edition 2014 - 200 pages - 11,90 € €

Dans la digne ligne du heum-heum « Qu’ignore-je » sur l’alpinisme, voici une pertinente impertinence renvoyant combien nous, monchus et autres BourRus (Bourgeois Ruraux), avons tendance à mesurer qui a la plus grande relativement aux sommets que l’on gravit (ou à défaut – petite oblige - que l’on convoita).

Bref, voici une diatribe bienveillante, mâtinée de gaudriole, à l’endroit du microcosme montagno-baséhaut-alpin-et-plus-car-affinité.

Et comme c’est rédigé, et préfacé, par des acteurs actifs de ce petit nombril, alors autant que l’on se le regarde tous en en rigolant…

Et c’est déjà parfaitement suffisant.

 

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Samivellestbelle, notre montagne...

Ruban blanc ?...

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