Critique du livre L'Alpe 71 - Eaux-de-vie et liqueurs
On dit souvent que l’alcoolisme est la maladie du verre solitaire. Mouais.
Par contre, siffler un verre solidaire avec sa bande d’acoolytes, au sortir d’une belle bavante, n’est pas forcément sale…
Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait (fait) l’Everest, chacun le sien (de flacon, et d’Everest !)
Chronique commise par jyhes le 19-12-2015
Auteur : Collectif Editeur : Glénat Catégorie : Beaux livres ISBN : 19767 Edition 2015 - 100 pages - 18 € € |
Pochetron(e)s de toutes les cimes, unhips’sons-nous !
Cet Alpe est à l’éthylène ce que l’eau fraiche est aux amoureux.
Un abreuvant, un justifiant, un traité de bonne conf(sc)iance, un machin qui réchauffe le gosier voire sublime les cœurs !
Bref, entre ce que l’on a bu, boit et boira, ceux qui l’on fait, le font et le feront encore*, notre cœur, disons notre foie, ne balance pas (nonobstant la tête qui a le droit de tourner).
On doit aimer cul-sécher le dedans du verre tout autant qu’avoir une pensée respectueuse pour ceux qui œuvrent à ce qu’il soit bien remplite.
Ca tombe bien, c’est tout l’enjeu de cette tournée, sans faux col, des picolo-ergo-sum de l’Alpe.
Et comme chez eux, le verre est toujours plus qu’à moitié plein, on pourra cuver en prime et en paix dans l’insolite chartreuse du portfolio, enivrant s’il en est.
Bon, prochain numéro : « Si à la montée tu râles, au refuge : eau minérale ! ».
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* A ce propos : ./51-article-Faire_sa_goutte.html